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 June † when she was just a girl, she expected the world | Admin

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June N. Hopkins

June N. Hopkins


Etudes/métiers : 2ème année de droit
Crédits : SHIYA + Tumblr + Hell's Angels
Statut social : En couple
Messages : 122
Date d'inscription : 21/05/2012
Age : 31

June † when she was just a girl, she expected the world  | Admin Empty
MessageSujet: June † when she was just a girl, she expected the world | Admin   June † when she was just a girl, she expected the world  | Admin Icon_minitimeMar 5 Juin - 19:46

June † when she was just a girl, she expected the world  | Admin Tumblr_lxoxbvaz3F1qh33kso1_500

June Nina Hopkins
« Regrets collect like old friends »



Mon Identité
.
Je m'appelle June Hopkins et j'ai actuellement 21 ans. Je suis né(e) à Edinburgh, le 21 mai 1991 . Pour ce qui est de ma vie actuelle je suis en 3éme année d'étude en Droit. Tu ne l'as peut-être pas remarqué mais je fais partis des Student.Oh et on me dit souvent que je ressemble à Emma HOT Stone , qu'en penses-tu ?

Elle est têtue et râle beaucoup. Mais c’est comme ça qu’on l’aime. Elle est perfectionniste et veut que tout ce qu’elle entreprend se passe comme elle le veut. Elle a un grand sens de l’humour, fait tout le temps des blagues et rigole beaucoup et très fort. On lui a déjà fait remarquer qu’elle parlait trop fort et qu’elle n’était pas discrète. Elle est curieuse et imagine des tonnes d’histoires dans sa tête. Elle est très mature et sait être sérieuse quand il le faut. Elle écoute de la musique, presque exclusivement britannique. Elle est une vraie blonde mais durant son adolescence, elle est devenue rousse. Elle passe régulièrement du blond au roux en un claquement de doigt. Elle se mord facilement la lèvres et joue avec ses cheveux quand elle est gênée.




Story of my life
.
Huit ans et demi


« June, voici Ethan. Ethan, c’est ma fille June. » Je détaille du regard le garçon qui se trouve devant moi. Plus grand que ceux avec qui j’ai déjà joué, cheveux châtains, yeux marron. Un garçon banal, quoi. « Allez jouer dans le jardin, les enfants ! » Je jette un coup d’œil à ma mère, qui est déjà partie avec la voisine. Ils viennent d’arriver dans le quartier et apparemment, nos pères travaillent ensembles. Je reporte mon regard sur le garçon. « Pourquoi t’es aussi grand ? » « Pourquoi tu es blonde ? » Sa répartie fuse et j’en reste bouche-bée. J’hausse une épaule. « Je ne sais pas du tout. » Je lui souris de toutes mes dents, ou presque, et me précipite dans le jardin, Ethan à ma suite. « Dis, tu sais jouer à cache-cache ? » Je me retourne. « Bien sûr ! Je suis même la meilleure à ce jeu. » Il rigole. « On verra ! C’est toi qui comptes. » Il ne me laisse pas le temps de répondre et part déjà se cacher. Je me retourne et pose la tête contre le premier arbre que je trouve. « Un… deux… trois… quatre… »

Quinze ans et dix mois


« Alleeeeeeeez June, dépêches-toi ! » Je soupire. Ethan ne sait vraiment pas attendre. « J’arrive ! » « Tu l’as déjà dit, il y a 30 min. » Je lève les yeux au ciel. « Si tu arrêtais de me parler, je serai prête plus tôt ! » Je l’entends marmonner et je ricane. Je le connais par cœur. Je mets une dernière touche de mascara et ouvre la porte. « Tadaaa ! » Il se retourne et me regarde de haut en bas. « Tout ce temps pour ça ? » Je grimace et balance mon poing sur son épaule. « Si tu continues à taper au même endroit à chaque fois, je vais avoir un bleu. » « Evite de dire des bêtises alors. » Je lui tire la langue et nous rigolons. « Tu sais je n’ai pas vraiment envie d’y aller à cette fête. Et si on allait au ciné à la place ? » Je regarde par la fenêtre. « June, c’était ton idée. C’est toi qui a insisté pour qu’on y aille. » Je grimace encore une fois. Je sais tout ça, j’ai presque dû l’acheter pour qu’il accepte de venir avec moi. Non pas qu’il n’y soit pas invité mais je préférais juste qu’il m’accompagne. Ethan est mon meilleur ami depuis toujours. Dire que tout a commencé avec une partie de cache-cache, qu’il avait gagné, alors que j’étais censée être la meilleure à ce jeu. « Alleeez ! On sera mieux ici, que là-bas ! » Je m’allonge sur mon lit, à côté de lui. « Que se passe-t-il Ginger ? » Je joue avec mes cheveux, devenus roux, et une moue boudeuse apparait sur mon visage. « Et s’ils ne nus aimaient pas ? Et s’ils ne me trouvent pas assez bien ? Et si on ne s’amuse pas ? » « Ce n’est pas en restant ici qu’on le saura. » Je me blottis contre lui. « Ethaaaaan ! » Mon portable sonne et je décroche sans attendre sa réponse. Je la connais déjà de toute façon. « Grace ! Et si on allait au ciné ? » Je sais qu’Ethan est en train de lever les yeux au ciel. Je suis encore persuadée d’être capable de le faire changer d’avis. « J’arrive. » Je saute du lit et attrape mon veste et mon sac. « Elle a besoin de moi. » Ethan me suit dans les escaliers. On dit au revoir à mes parents et à ma petite sœur et nous sortons de la maison. « On se retrouve chez Sadie. » me dit-il, en m’embrassant sur la joue. Je lui tire la langue et nous nous séparons pour quelques heures. Je n'aime pas quand il a raison.

Dix-sept ans et sept mois.


« Cambridge ! » Je regarde Grace et je fais des allers-retours entre son visage et le dossier qu’elle tient dans les mains. « Je vais à Cambridge l’année prochaine. » Un cri s’échappe de ma bouche et je lui saute dessus, pour lui faire un câlin. Ma meilleure amie va à Cambridge. Enfin, elle doit encore faire le dossier et être acceptée mais je sais qu’elle y arrivera. « Adieu les filles superficielles et les garçons immatures, bonjour aux étudiants sérieux et fréquentables ! » J’éclate de rire avec elle. Une année et nous serons libre, nous serons indépendants. « Et toi, tu as choisit ? » J’hausse les épaules. « J’hésite encore. » Elle me fait un clin d’œil et sors un deuxième dossier qu’elle pose devant moi. « N’hésites plus ! Ils ont un très bon cursus de littérature à Cambridge. Je dirais même, qu’il est excellent. »Je regarde le dossier et ferme les yeux pour nous imaginer toutes les deux à Cambridge. « Tu crois qu’on s’en sortira ? » Elle acquiesce. « On a intérêt ! » Elle sort deux stylos et nous remplissons tous les champs, ensembles.

Dix-huit ans et quatre mois


« Oui, maman, tout va bien, je te l’ai déjà dit. » Je joue avec le fil du téléphone. Je me rappelle l’avoir acheté dans une brocante, il y a quelques années, en me promettant qu’il servirait dans mon premier appartement. « Elle est à la bibliothèque. Ça lui prend beaucoup de temps mais elle y arrive. » En fait, je ne sais même pas comment Grace fait pour s’en sortir. Entre les cours, les fêtes auxquelles on assiste, son copain, enfin quand on arrive à savoir qui c’est. Elle a beaucoup de succès à Cambridge. Les garçons voient au-delà de son apparence et quand ils se rendent compte qu’elle est plus intelligente qu’elle ne le laisse paraître, ils sont beaucoup plus intéressés. « Ethan aussi va bien. D’ailleurs je dois le retrouver ce soir. » Je la laisse parler comme d’habitude et acquiesce alors qu’elle ne me voit même pas. « Maman ! Ca ne te regarde pas. Je sais bien qu’on est des adultes maintenant, mais ce n’est pas pour autant que je vais te raconter ma vie sexuelle. » Je me mords la lèvre et joue avec mes cheveux, redevenus blonds. « Mamaaan s’il-te-plait arrête ! » Je soupire. « On sonne, je dois te laisser. Bye ! » Je raccroche, en me mordant la lèvre et ferme les yeux. Mentir à sa mère n’est pas bien. Je m’excuse à voix basse. Je ne devrais pas faire ça mais elle parle trop. Je réponds à un texto de Grace qui va rester plus longtemps à la bibliothèque, que prévu. Parfois, j’ai l’impression qu’elle me cache des choses. Parfois, je me dis qu’on est vieux couple marié et que je suis jalouse. Je sursaute quand on sonne réellement à la porte. Je regarde ma tenue, un short trop court et un vieux tee-shirt de mon père, et hésite à aller ouvrir. Mais je me lève quand même et souris en voyant que c’est Ethan. « Désolée pour ma tenue, j’ai tenu 45 min, au téléphone, avec ma mère. Tu la connais quand elle commence, elle ne s’arrête plus de parler. » Je l’abandonne dans l’entrée et file dans la cuisine pour attraper le muffin que j’étais en train de manger. Le téléphone sonne de nouveau et je décroche, en soupirant. « Maman, qu’est-ce qu’il y a encore ? Mrs Stan a oublié d'éteindre le gaz et sa maison est en feu ? » Sa voix est paniquée et atone à la fois. Il y a quelque chose qui ne va pas. Elle bafouille, je l’entends pleurer. Mon cœur s’arrête de battre et je m’accroche comme une folle au chambranle de la porte. « Maman ? » Elle éclate en sanglot et je ferme les yeux. Mon dieu. Mon père prend le relai et ça m’effraie encore plus. Je rouvre les yeux et écoute attentivement mon père. Ses paroles m’arrachent le cœur, je m’écroule par terre. Je lâche le téléphone, sans écouter la fin. J’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort. Je suis incapable de parler, de crier, de hurler. Ma sœur a eu un accident. Ma sœur est décédée sur le coup. Ma sœur de 15 ans n’est plus. « June, tu fais quoi ? On nous… » Il ne finit pas sa phrase et se précipite vers moi. « June, qu’est-ce qu’il y a ? June dis-moi. » Je m’accroche à lui, comme à une bouée de sauvetage. J’ouvre la bouche mais aucun mot ne sort et des larmes coulent d’elle-même sur mon visage Tout ce que j’arrive à faire c’est gémir et pleurer. Il me berce, me caresse les cheveux et ne me lâche plus. Je ne saurai dire combien de temps, nous sommes resté dans cette position. Mais j’ai finit par réaliser la situation, j’ai finit par dire trois mots. « Michelle est décédée. »

Dix neuf ans


Aujourd’hui, j’ai 19 ans. Je ne sais pas comment j’ai fait pour me laisser embarquer dans cette fête organisée, par mes amis. Je navigue entre tous les invités, une bière à la main. Je la termine d’un coup et me dirige vers un groupe de personnes, un groupe d’amis en cours avec moi. Un groupe que je vais moins fréquenter par la suite, puisque je change de filière. Je quitte la littérature pour le droit. Depuis ce jour-là, depuis que Michelle nous a quitté, je n’arrête pas de penser au chauffeur qui ne fera que trois ans de prison, alors qu’il a tué ma sœur. Il a tué ma sœur, il est parti et il ne va faire que trois ans de prison. Je veux étudier les lois, pour le coincer, lui faire payer ce qu’il a osé faire. Je ferme les yeux et respire un bon coup. Il me faut un verre, mais un alcool bien fort, qui me fera oublier ma tristesse le temps de la soirée. J’ai du mal à sortir, à parler, à rire. J’ai changé. Ethan et Grace ont essayé de me consoler mais personne n’a réussi à le faire. Je change de direction et m’accoude au bar. Je commande des shots de téquila et je les bois rapidement, à la suite. L’alcool me brûle légèrement la gorge et une vague de chaleur se répand en moi. J’en commande trois de plus et un double whisky. Ma commande arrive rapidement et l’empilement des verres devant moi me fait rire. Je rigole bêtement, chose qui ne m’était pas arrivée depuis bien longtemps. J’avale mes shots et prends mon verre de whisky. Je me ballade entre les gens, discutant et dansant, tout en faisant attention à ma boisson. L’alcool me fait un bien fou. J’aurai du boire depuis longtemps. Un sourire sur les lèvres, je discute avec un mec, qui doit être un ami, d’un ami de Grace. Je le détaille rapidement et souris de plus belle. L’alcool change ma façon de voir le monde. Il attrape ma main et nous allons danser. Je termine mon verre et me laisse aller. Il se colle à moi. Je ferme les yeux encore une fois et profite du moment. Nous dansons quelques temps puis il attrape de nouveau ma main. Nous allons nous poser sur un canapé. Il se colle encore à moi et ses mains deviennent baladeuses. Je rigole à ses blagues et repousse ses mains. Mais il se fait insistant et pressant. J’arrête de sourire et bouge son bras. « Allez June, ça va te faire du bien. » Je refuse et range ses mains. Je sens son souffle sur mon cou et je commence à paniquer. Ses mains parcourent mon corps et je frissonne. « Je sais bien que tu aimes ça. » Je secoue la tête négativement et je ferme les yeux, où des larmes commencent à perler. « Dégages de là, Cooper. » « On ne t’a rien demandé Levinson. » « Dégages ou je t’en mets une. » Ses mains s’arrêtent et je le sens se lever. Je n’ose pas rouvrir les yeux. Une main se pose sur mon épaule et je sursaute. « Chut, Ginger, c’est moi. » Cette fois-ci je les ouvre, et je m’accroche à son cou. « Tout va bien. » Il s’assoit à côté de moi et je ne le lâche pas de la soirée. Il me caresse les cheveux, me chuchote des mots à l’oreille, m’embrasse. Je ne sais pas ce que je pourrai faire sans lui. « Allez, on rentre. » Il attrape ma main et nous annonçons à Grace que nous partons. On monte dans le premier taxi qu’on trouve, toujours accrochés l’un à l’autre. Il donne mon adresse et nous arrivons rapidement devant l’appartement que je partage avec Grace. « Tu restes dormir avec moi ? » Nos visages sont proches et je dépose un baiser sur ses lèvres. « S’il-te-plait ? » Il acquiesce et nous montons. J’attrape sa main et nous nous dirigeons vers la chambre. Nos lèvres se rencontrent encore une fois et le baiser se fait plus profond, plus intense. Mes mains s’accrochent dans ses cheveux et les siennes parcourent mon corps. Je frissonne et mon corps se colle au sien. Nos vêtements tombent vite un à un et nous tombons sur le lit. Nos corps s’entremêlent et dans un dernier souffle avant l’extase, je lui murmure un « je t’aime », qui veut tout dire. Deux mots qui vont sceller nos vies à jamais, deux mots qui ont plus de sens qu’avant.

Vingt ans et trois cent soixante-quatre jours


« Un café s’il-vous-plait ! » Je sors mon portefeuille, pour payer ma commande. Graca arrive à ce moment-là. Elle commande rapidement un café elle aussi et on va s’asseoir à notre table habituel. C’est le premier café où l’on s’est arrêté lorsqu’on est arrivé à Cambridge. Le premier café qui nous a accueillit, en tant qu’étudiant. « Prête pour tes partiels ? » me demande-t-elle. J’hausse les épaules. « Il y a beaucoup de choses à apprendre mais je gère. » « Tu es vraiment sûre de vouloir continuer à faire ça ? » Je bois une gorgée de café et lui souris. « Il ne lui reste un an de prison. Ma sœur avait toute sa vie devant elle. » Je sais qu’elle s’inquiète pour moi. Passer de la littérature au droit n’était pas une décision facile. Après tout, je n’y connaissais rien et surtout, je n’étais pas intéressée par cette voie. Mais maintenant, ça me plait et j’y arrive. Je sais que certains profs se sont intéressés à mon parcours et mes motivations. Il y en a un qui m’a dit de grader ça en tête, si je voulais réussir. La filière de droit est un monde de requin et il ne faut pas que je me fasse bouffer. « Et avec Lewis ? » Elle me fait un clin d’œil. « Je n’arrive toujours pas à croire que tu ne l’as pas gardé pour toi, et que tu me l’as présenté. Il est parfait ! Je me sens tellement bien avec lui, ça fait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. » Elle éclate de rire. « Ca fait tellement longtemps que je le connais que ça me ferait bizarre de sortir avec lui. Et je suis contente de te l’avoir présenté. Vous êtes tellement mignons tous les deux. » J’éclate de rire à mon tour, et je sens mes joues se réchauffer. « oooh, je vois. T’es amoureuse June ! » crie-t-elle. Du monde se retourne vers nous. « chuuut ! Je ne sais pas si je suis amoureuse. Enfin, si peut-être, je sais paaas. » Nous rigolons toutes les deux. « Tu mérites d’être heureuse June. » Elle boit une gorgée de café et son regard s’arrête au loin derrière moi. Je me retourne pour regarder et je me retrouve nez à nez avec Ethan. J’ouvre et referme la bouche plusieurs fois mais aucun son ne sort. Je voudrais lui hurler dessus, le frapper. Comment ose-t-il réapparaitre comme ça ? Ca fait deux ans, que je ne l’ai pas vu. Deux ans qu’il a disparu, je ne sais où à l’étranger. Il a pris deux années sabbatiques à l’étranger. Il n’a plus donné de nouvelles. Il m’a abandonné, le lendemain de notre nuit ensembles, sans un mot. « Vous allez bien ? » Je le fusille du regard, récupère mes affaires et sors du café précipitamment. Je reprends mon souffle, et les battements de mon cœur s’accélèrent. Ethan est de retour.


Derrière ton ordinateur
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Je m’appelle Marina, je n’ai pas vraiment de pseudo internet. xD Bref, j’ai tendance à beaucoup parler, raconter ma vie aux gens, pleurer devant un épisode de Grey’s Anatomy ou Doctor Who, ou carrément en regardant un film, comme One Day, qui m’a vraiment fait pleurer. C’est horrible comment en 1h et demi, j’arrive à être accrochée à des personnages fictifs. Je suis une accro de Tumblr. Ah oui, je vais bientôt avoir 20 ans et je suis en deuxième année à la fac. Si vous avez le courage, demandez-moi ce que je fais. Et je suis généralement tout le temps présente sur le forum, sauf quand je dors ou quand je pars en vacances. xD



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